C’est un observateur sans vertige, et, quoique le rabelaisien soit dans le tonde son œuvre, il ne fausse pas les faits parce qu’il aime à gausser et à rire, et, s’il peint des grotesques, il ne les invente pas.
C’est un observateur sans vertige, et, quoique le rabelaisien soit dans le tonde son œuvre, il ne fausse pas les faits parce qu’il aime à gausser et à rire, et, s’il peint des grotesques, il ne les invente pas.