Victor Bérard qualifie justement : « falsification de textes et faux proprement dits ». […] L’une des deux dates est fausse. […] Oui : des romans faux ; et deux sortes de romans faux, œuvres polissonnes, œuvres consolantes. […] Comme tout le monde, j’appelle idées fausses les idées qui ne me plaisent pas. […] Il y a pourtant des idées fausses qui, en dépit de la bonne foi de leurs partisans, ne valent rien.