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1169. (1905) Propos littéraires. Troisième série

Car le « tout reconnut ses lois » de Boileau est parfaitement juste de Malherbe professeur de langue, et parfaitement faux de Malherbe poète. […] Bien n’est plus faux que cette idée ; rien n’est plus commode que ce procédé ; et rien n’est plus stérile que cette méthode. — Bien n’est plus faux que cette idée. […] C’est commode pour les classifications ; ce n’est pas même tout à fait faux ; seulement ce n’est pas vrai. […] Rien n’est plus faux. […] » Il répond : « C’est moral, si c’est beau », ou plutôt : « Si c’est beau, ça vaut la vertu », ce qui n’est pas tout à fait la même chose, mais encore est radicalement faux.

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