Mon cher Valentin, Ta dernière équipée a désolé profondément notre famille ; la cousine Madeleine, qui est toujours prête à défendre son Valentin, — même quand il attaque les autres, — ne sait plus où donner de la tête depuis ton incroyable article de L’Opinion nationale. […] Les Gribouillet, qui en ont toujours voulu à notre famille, s’étaient abonnés à ton journal, se doutant bien que tu y ferais des bêtises.