Ce fut là qu’il connut Benjamin Constant, qui avait dans cette ville une partie de sa famille. […] Et d’abord il était né dans les plus mauvais jours de la Révolution, au milieu du deuil de sa famille. […] Mais chaque année pendant les vacances, il se retrempe dans la vie de famille. […] Maurice était né dans une famille où la pauvreté et le malheur semblaient héréditaires. « Retiré à la campagne avec ma famille, a-t-il dit, mon enfance fut solitaire. […] L’heure suprême avait sonné ; heure des larmes pour la famille, pour le patient heure de la délivrance.