En masse, les professeurs de l’Université, sans être hostiles à la religion, ne sont pas religieux : les élèves le sentent, et de toute cette atmosphère ils sortent, non pas nourris d’irréligion, mais en indifférents ; la plupart des familles sont de même. […] D'un autre côté, dans les écoles religieuses non universitaires, qu’alimentent les familles catholiques, les études littéraires et classiques sont généralement très-faibles et très-mitigées.