Il est de fait, en outre, que pour une certaine éducation morale, paternelle, un peu aristocratique, et qui continue doucement les traditions du foyer et de la famille, les pensionnats tenus par des Pères plus ou moins jésuites sont incomparablement plus sûrs que les colléges de l’Université : ceux-ci produisent des lycéens bien appris, éveillés, de bonnes manières, et qui deviennent très-aisément de gentils libertins.