Il y a quelque temps, c’était aux étudiants étrangers que l’on s’en prenait : plutôt les banquettes vides dans nos facultés que ce flot empoisonné d’étrangers !
Il y a quelque temps, c’était aux étudiants étrangers que l’on s’en prenait : plutôt les banquettes vides dans nos facultés que ce flot empoisonné d’étrangers !