Cette conversion rendant moins agréable etmoins facile sa résidence à Pétersbourg, elle vint en France dès la fin de l’année 1816 ; elle avait trente-quatre ans. […] Le salon de Mme Récamier, infiniment plus facile, plus agréable, se ressentait quelque peu du boudoir où avait trôné si longtemps la belle Juliette ; un parfum d’élégance s’y respirait ; on devinait dès l’entrée, à de certains arrangements discrets et à de certains demi-jours, la ci-devant jolie femme : chez l’autre on sentait trop celle qui ne l’avait jamais été.