Diverses brochures et articles de journaux, de sa façon, nous le présentent essayant de concilier le caractère sacré que lui et ses amis de l’Oratoire n’ont pas dépouillé, avec les circonstances sociales nouvelles ; il s’applique à démontrer que la Constitution civile du clergé, telle que la veut l’Assemblée constituante, est sincèrement d’accord avec les principes de la foi catholique et avec les conditions de cette Église, y compris la primauté du pape et la supériorité de la juridiction épiscopale. […] Daunou restait en deçà ; il était sceptique en ces matières, à la façon de Gabriel Naudé, et suivait volontiers, comme lui, l’axiome des jurisconsultes : Idem judicium de is quæ non sunt et que non apparent.