Les livres traduits de l’anglais l’intéressaient particulièrement ; à propos des Discours sur Tacite, de Thomas Gordon : « Avec quelles délices, s’écrie-t-il, on lit ces raisonnements forts et fortement exprimés des Anglais, quand on aime la politique comme je fais depuis longtemps ! […] Il écrit, dit-on, d’un style un peu précieux, mais ses antithèses expriment de grandes choses, comme Balzac ; magna sonaturus.