En outre l’écriture (et vous, monsieur, qui connaissez la mienne, en savez quelque chose) peut être difficile à lire, et donner lieu à diverses méprises ; c’est par là que je m’explique la plaisanterie qui termine le fragment en question, et qui aura été aussi inintelligible pour vos lecteurs que pour moi ; j’en suis encore à chercher ce que j’aurais pu vouloir dire en prétendant sérieusement qu’ailleurs que chez les Hottentots on ne sût pas ce que c’était qu’un secrétaire… » Ampère va trop loin : il avait bien réellement fait la plaisanterie, et chercher ensuite à donner le change en insinuant qu’il a dû y avoir une faute d’impression, c’est compter sur trop de complaisance de notre part, et de la sienne c’est se jouer un peu de la vérité.