Pline n’est pas le moins du monde un Aristote, c’est-à-dire un génie directement observateur et original, critiquant l’objet de ses expériences ou de ses lectures, et aspirant à découvrir les vraies lois. […] Il parle quelque part d’expériences qu’il aurait faites sur le chant du cygne ; il ira voir volontiers une collection de plantes médicinales dans le jardin d’un célèbre amateur de son temps, Antonius Castor ; tout ce qu’il peut voir de curieux, il le voit : témoin sa mort mémorable.