Dans Marot, le poète versificateur, le poète professionnel, le rhétoriqueur existe ; mais il est juste de ne le signaler que pour mémoire. […] Le remède c’était la nécessité d’exister, et le grand plaisir que la religion nouvelle avait à être. […] Entassez les grandeurs ; le monceau comparé à lui n’augmente pas d’une ligne, il reste un rien, il n’existe pas. […] Il est infini, donc il est inflexible. — Ajoutez que le temps n’existe pas pour lui. […] Elle l’était pourtant, comme sans le vouloir, par le seul fait qu’elle existait.