Il nous dit : La matière existe. […] Ou il faut nier tous nos sens et nous suicider mentalement nous-même, ou il faut confesser que la matière existe. Mais il existe autre chose que la matière ; cela est d’un autre ordre d’évidence, mais cela est tout aussi évident. […] Il existe donc un monde invisible où l’homme, après avoir achevé sa destinée matérielle, poursuit sa destinée intellectuelle et morale. […] Est-il vrai que ces détracteurs rétrospectifs de l’intelligence française soient fondés à nous convaincre d’une prétendue décadence qui n’existe que dans leurs courtes pensées ?