C’est l’homme pour qui les choses de l’esprit, du sentiment, de l’art n’existent plus, qui méprise tout ce qui ne se traduit pas en résultats tangibles et mesurables. […] Je suis bien aise que Bethsabée existe, mais je ne désire pas l’avoir constamment sous les yeux. […] On ne peut améliorer ce qui n’existe pas, il faut d’abord le créer. […] Et si le fluide existe, il s’est montré bienfaisant ; s’il n’existe pas, il ne saurait nuire. […] On sait que la Savoie existe, on la traverse mais on ferme sans doute les yeux à ce moment, on ne la voit pas.