Je l’espère, et tandis que je nourris de cet espoir le misérable reste d’existence dont je désire vivement voir le terme, la chère mémoire d’André restera toujours gravée dans mon esprit et dans mon cœur. […] Depuis l’époque douloureuse de sa mort jusqu’au moment où j’écris, mon existence a été une série continuelle d’amertumes et de malheurs.