Je regrette qu’un peu de plaisanterie se soit mêlé sous nos plumes françaises à l’idée de respect et de vénération qu’une telle existence devait avant tout inspirer. […] Il ne se laissa jamais détourner ni distraire un seul jour de cette contemplation et de cette description de la nature, pour laquelle la plus longue existence humaine était si courte encore.