« Alphonse, écrit-il, semble vouloir me condamner à une existence oisive et efféminée ; il me traite en fugitif du Parnasse, relégué dans les jardins d’Épicure. » Il confesse, un peu plus loin, qu’au lieu de suivre les conseils des médecins qu’on lui impose, il se livre à quelques excès de table et de vin.