Mais je n’en veux qu’à cette fausse sagesse, calculatrice et imprévoyante à la fois qui, sous prétexte de s’en tenir au nécessaire, n’essaie pas même de conquérir le superflu ; à cette sagesse banale qui considère le travail comme une action régulière et mécanique et qui s’interdit comme une imprudence tout effort intellectuel qui n’est pas rigoureusement commandé.