Pour essayer moi-même d’appliquer quelque analyse ou de rattacher quelques observations à ces lettres, je choisirai celles qu’il a écrites à la comtesse de Grammont, l’une de ses premières maîtresses, et qui sont certainement tout entières de sa façon. […] Henri essaye encore de la détromper, ou plutôt de lui laisser quelque illusion : « Mon cœur, j’enrage quand je vois que vous doutez de moi, et de dépit je ne tâche point de vous ôter cette opinion.