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1938. (1895) Les mercredis d’un critique, 1894 pp. 3-382

Il court, il saute, il gambade, il exulte, il triomphe, il chante d’un ton enfiévré de folie tous les gais refrains de sa jeunesse, il se roule sur l’herbe fraîche qu’il essaie de saisir et d’embrasser. […] C’est par des matins pareils qu’elles ouvraient à la lumière leurs yeux purs de pierres précieuses, et que s’essayait le langage en gazouillis de leur réveil. […] Sois bonne, essaie de l’être… pour que ses ailes soient légères, quand viendra la liberté ! […] Mais la mer était démontée ; essayer de mettre une embarcation à l’eau pour aller chercher le malheureux, c’était exposer aux plus grands dangers les hommes qui la montaient.

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