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656. (1803) Littérature et critique pp. 133-288

Je les offre aux méditations des bons esprits. […] L’imagination et l’esprit ne peuvent ici remplacer l’étude et la réflexion. […] Cette sagesse religieuse, qui fut celle des plus beaux siècles dont s’honore l’esprit humain, n’a paru de nos jours qu’une méprisable superstition à des esprits inattentifs ou médiocres. […] Il semble qu’en remontant vers ces jours de notre gloire, l’esprit s’élève et le goût s’épure. […] L’article sur Mirabeau fut écrit à l’occasion du livre intitulé Esprit de Mirabeau.

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