Comme Mme de Sévigné, son esprit, son naturel l’emportent ; la vérité lui apparaît plaisante, et elle la raconte gaiement. […] Elle se consola d’abord en vivant à Paris dans la compagnie des gens d’esprit qui s’y trouvaient ; elle y connut La Fare, qui fit pour elle ses plus jolis vers. […] Mais, à force d’esprit, d’agrément et d’adresse, elle répara tout, et la longue éclipse fut comme non avenue. […] Il avait bien plus que sa maîtresse l’esprit qui donne de l’avantage sur les autres. […] Les esprits tristes eux-mêmes n’y sont pas admis, car il y a un fond de joie et d’enjouement dans toute urbanité, il y a du sourire.