« Il n’est point inférieur à Virgile, dit l’Abbé Desfontaines, pour l’élégance & la pureté du langage, pour l’esprit & les graces qui y regnent ». […] Les heureuses dispositions de l’esprit, jointes à une étude constante, ne sont-elles pas capables de vivifier une Langue qui n’est morte que pour ceux qui la négligent ? […] Preuve qu’il est indifférent pour les Esprits bornés qu’une Langue soit vivante, comme il l’est pour les vrais Génies qu’elle soit morte.