Son Ode au Cardinal de Richelieu, louée par Boileau lui-même, laquelle a près de trois cents vers ; ses autres Pieces lyriques, ses Sonners, ses Madrigaux (petites Pieces préférables à beaucoup d’autres de la même espece, qui figurent dans nos Recueils), ne sont pas les Ouvrages qui l’ont rendu ridicule ; ils suffiroient, au contraire, pour établir la réputation d’un homme qui n’auroit pas fait la Pucelle.