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1510. (1902) Le culte des idoles pp. 9-94

Tant que Jules vécut, ces livres, sans être des chefs-d’œuvre, sans être même bien intéressants, composés à la diable, espèce de journaux décousus, qu’on ne sait par quel bout commencer, eurent assez de pages spirituelles, fines, exquises même, pour faire passer les autres. […] Le style Flaubert a été moins funeste encore que son esprit, si on peut appeler ainsi la lourde et triste raillerie, l’espèce d’ironie pesante et féroce qu’on retrouve dans tous ses livres modernes.

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