Mais (triste enchaînement des erreurs humaines !) […] C’était une insigne erreur de croire que l’Évangile était détruit, parce qu’il n’était plus défendu par les heureux du monde. […] Si l’on trouvait ce portrait de l’erreur dans les Caractères de La Bruyère, on le remarquerait peut-être. […] Elles ne sont que la cause des maux dont l’erreur est le principe. Les passions s’usent, il faut bien qu’elles se reposent ; l’erreur est éternelle et ne se fatigue jamais.