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518. (1903) Le problème de l’avenir latin

Mais ce qu’ils n’ont pas vu, c’est qu’à côté de l’erreur patente, il y avait une part profonde de vérité. […] Nous répondons hardiment : erreur totale. […] C’est là l’impasse où les ont enfermés leurs erreurs formidables et dont ils ne peuvent sortir qu’en se meurtrissant, à moins qu’ils ne se résignent à y périr. […] Voilà le sort qui est au terme de nos avortements, de nos sophismes, de notre insouciance, de nos erreurs, de nos folies. […] Malgré nos erreurs, nos tares et nos failles, notre histoire est assez pleine et rayonnante pour transmettre notre nom aux générations encore insoupçonnables.

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