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372. (1908) Les œuvres et les hommes XXIV. Voyageurs et romanciers « Arthur de Gravillon »

Dans son livre de J’aime les Morts, on reconnaît, à plus d’un endroit, qu’il a été plongé dans l’eau divine de la vérité et qu’il en a gardé des gouttes lumineuses ruisselant jusque sur ses erreurs ; mais, il faut bien le dire, il sort souvent des influences de cette mâle éducation chrétienne. […] Là est l’erreur du moraliste dans le poète de la Fantaisie.

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