Mon cher Delahaye, la jeunesse studieuse profitera grandement de vos Devoirs ; mais je prétends que les adultes, les mûrs, les graves, les sérieux, doivent non moins les lire pour perdre une foule d’erreurs un peu partout ramassées, respecter leurs ancêtres et aussi leur patrie, comme vous le faites, en bon fils, point aveugle et point ingrat. […] Elle soutint que jamais il n’y avait eu — au contraire — le plus léger dissentiment entre elle et Raizonville, que les sergots faisaient erreur. […] Une surexcitation de l’intellect, avec un sentiment plastique peut-être exagéré, des déboires dans un amour qui devait rendre heureux, voilà, croyons-nous, l’origine habituelle d’une erreur qui, pour n’avoir pas eu cette excuse et n’être pas restée un cas intellectuel et moral, est punie si terriblement dans la Bible.