Quand on a lu ce triste et traître morceau, impossible de se méprendre sur l’incurable faiblesse d’esprit d’un homme qui a osé écrire au front de son livre les mots d’histoire et de philosophie religieuse et qui, précisément dans ces deux grands ordres d’idées, ne procède que par sophismes vulgaires et a démontré qu’il n’y avait en lui que la pauvreté de l’erreur. […] Du reste, il n’y a pas, dans cette introduction aux fragments d’histoire et de philosophie religieuse, que l’erreur souche du point de vue principal. Sur la grosse erreur, M. […] Taillandier n’a pas même la perle de l’erreur. […] c’était là une erreur !