On fit applaudir sous la coupole de l’Institut les vers que voici, et dans lesquels le poète de plus en plus sage faisait comme abjuration de cette bien innocente erreur, de son culte un peu druidique pour le chêne et pour les forêts : Fais tes adieux à la folle jeunesse ; Cesse, ô rêveur abusé trop souvent, De souhaiter que la feuille renaisse Sur tes rameaux desséchés par le vent.