/ 2341
566. (1880) Goethe et Diderot « Note : entretiens de Goethe et d’Eckermann Traduits par M. J.-N. Charles »

C’était un fort honnête Allemand, qui entra chez Gœthe, vers la fin de sa vie, comme garçon d’admiration : genre de domesticité dont Jean-Jacques Rousseau, domestique à coup sûr moins honnête, avait l’idée, quand il disait de Fénelon : « J’aurais voulu être son laquais pour devenir son valet de chambre ». […] Il était entré dans l’immobilité des dieux d’Épicure.

/ 2341