Corneille n’a jamais pu entrer parfaitement dans cette direction ; il tendait plus à cette indépendance qui est si propre à une littérature nationale. […] Ainsi les Gentils comme les Juifs ont reçu d’avance le bienfait de la promesse ; ainsi les Gentils comme les Juifs, en différents temps, ont eu des prophètes, ont conversé avec des précurseurs : pourquoi aucun poète n’est-il encore entré dans le champ du christianisme antérieur ?