Il est plus facile de dédaigner et de railler sa grande Histoire philosophique que de la lire en entier, et cependant on en tirerait encore profit. […] Il se consacra tout entier à l’œuvre qui devait remplir la seconde moitié de sa vie, et que depuis la première édition (1770) il ne cessa de retravailler par lui-même ou par d’autres : singulière et périlleuse manière de l’améliorer.