Il est des strophes dans les oeuvres de Desportes et de Bertaut, comparables à tout ce qui peut avoir été fait de meilleur depuis Corneille, mais ceux qui entreprennent la lecture entiere des ouvrages de ces deux poëtes sur la foi de quelques fragmens qu’ils ont entendu réciter, l’abandonnent bien-tôt. […] On ne sçauroit entendre ce passage de Quinte-Curce, que de l’avenement de Claudius à l’empire, ou de celui de Gordien Pie.