Ce livre dégage et illumine un sens que nous avons tous, mais voilé, vague et privé presque de toute activité, le sens qui recueille les beautés physiques et les livre à l’âme. » Et il insiste sur ce second travail de réflexion qui spiritualise, qui fond et harmonise dans un ensemble et sous un même sentiment les traits réels une fois recueillis. […] Ce n’est que plus tard que Brizeux a songé tout de bon à se faire Breton ; dans le poème de lui qui porte ce titre, Les Bretons, il a réussi dans deux ou trois grands et vigoureux tableaux ; l’ensemble manque d’intérêt, et le tout est dénué de charme.