Eugène Despois, a signalé une lacune dans les Œuvres posthumes de Sainte-Beuve1 : il a fait observer, avec raison, que dans les Premiers Lundis, dont l’ensemble embrasse toute la carrière littéraire du grand critique, la période intermédiaire, correspondant au règne de Louis-Philippe, n’était représentée, à partir de l’année 1834, que par un très-petit nombre d’articles. […] Olivier avait ensuite à coordonner les nombreux éléments que chaque courrier lui apportait : il les fondait en un travail d’ensemble, dans lequel il faisait entrer aussi les matériaux qu’il recevait d’autres personnes et ceux qu’il y ajoutait de son propre fonds.