Léo Latil le transforme en vertu, « Je veux délivrer ces coteaux, ces bois aux ondulations harmonieuses qui sont derrière les tranchées ennemies. » Il le dit et le répète. […] Vous leur diriez que je suis mort, face à l’ennemi, protégeant la France de ma poitrine, et que ce n’est pas en vain qu’ils m’ont élevé jusqu’à vingt ans, puisqu’ils ont donné un défenseur à la France. […] Les mères françaises, les plus tendres, les plus craintives qui soient au monde, ont dit à leurs garçons en 1914 : « Je t’encouragerais de la voix, si je te voyais t’élancer au-devant de l’ennemi ».