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438. (1889) Les contemporains. Études et portraits littéraires. Quatrième série « Victor Hugo, Toute la Lyre. »

Un autre refrain, c’est que la nuit représente les puissances malfaisantes, l’ignorance, le mal, le passé, mais que l’aurore figure la délivrance des esprits, l’avenir, le progrès… La troisième partie se pourrait résumer ainsi : — L’enfant est un mystère rassurant  La femme est une énigme inquiétante  Soyons bons  Evitons même les petites fautes. […] Et voici les pensées qu’on y trouve : — Les poètes primitifs aimaient la nature, et elle leur parlait  J’ai fait de la critique quand j’étais enfant, mais j’ai reconnu l’absurdité de cette occupation  La tragédie classique sent le renfermé. […] Seulement je suis plus triste  Lorsque j’étais enfant, la France était grande  A une religieuse : Priez ! ne vous gênez pas, je comprends tout  A un enfant : Aime bien ta mère et soutiens-la  J’ai beaucoup souffert, j’ai été proscrit et fugitif, mais j’avais la conscience tranquille  « A deux ennemis amis » : Réconciliez-vous. […] Ô l’enfant !

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