Lisez plutôt la notice que Talleyrand nous a laissée sur le duc de Choiseul, ou les Mémoires qu’écrivit Marmontel pour l’instruction de ses enfants. […] Ce qui n’est guère moins grave, c’est la naïve impudeur des déclarations qu’il lui adresse : « Ne voudriez-vous être que la gouvernante de mes enfants ? […] Sa fille l’accompagne, une enfant de neuf ans, dont la ressemblance avec une sœur de Francis Nayrac a frappé d’abord les yeux de mademoiselle Scilly. […] Au contraire, c’est bien pour elle-même qu’il a posé « la question du droit de l’enfant », dans la seconde partie de son roman. […] Sans doute, j’entends bien qu’il n’y aurait pas de drame, ni de roman même, à vrai dire, s’il n’y avait pas l’enfant.