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11. (1866) Cours familier de littérature. XXII « CXXXe entretien. Fior d’Aliza (suite) » pp. 193-236

Je fis entrer le prêtre et l’enfant. […] L’enfant alluma les cierges et la messe commença. […] L’enfant croyait qu’il tremblait de sa mort prochaine et se mit lui-même à sangloter. […] oui, me dit la tante ; elle était enceinte, la pauvre enfant, enceinte d’une nuit de larmes. […] Elle le regardait sans cesse comme pour voir si c’était un miracle ou un vrai enfant des hommes !

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