et l’on se dit : Quel général de la Révolution aux années du Directoire, ou mieux encore quel maréchal d’Empire c’eût été que Villars, et de ceux qui aspiraient de tout leur cœur à être rois ! […] De retour à Munich, il n’y put toutefois conjurer l’ascendant des ministres de l’empire ; dans la nouvelle ligue qui se nouait, l’électeur dut se déclarer, en attendant mieux, contre la France, et Villars, pour s’en revenir (1688), eut à traverser en toute hâte des pays ennemis, des populations irritées.