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1688. (1802) Études sur Molière pp. -355

Je regrette la scène dans laquelle la princesse chante pour attendrir le cœur de Carlos ; je regrette la contrainte de l’amant, le plaisir secret qu’il goûte et les combats qu’il éprouve ; je regrette surtout cette fête galante, cette loterie ingénieuse que l’amour lui-même paraît avoir inventé pour faire les beaux jours de son empire.

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