Ces mouvements d’une sensibilité qui tour à tour se répand à la surface des choses, puis les attire à soi comme pour les absorber, ces grands élancements brisés de l’esprit, et, pour diriger tout cela, ainsi qu’on imagine le dieu de la lumière maîtrisant son attelage effréné, l’empire formidable et doux d’une raison que rien ne trouble ; voilà quelques thèmes de cette symphonie sacrée qu’est le poème du Centaure.