Tous trois, un peu à la manière d’un reflux du romantisme (leur génération, celle des Trente ans en 1850, de la vie d’homme sous le Second Empire, marque bien ce reflux) nous présentent des esprits supérieurement armés pour la critique, et, avec cela, un peu désarmés par la critique elle-même. […] Ce n’est d’ailleurs pas le lieu de chercher les raisons qui assurent, comme tout autre, l’empire sensuel d’une Thérèse Levasseur ou d’une Jeanne Duval.