Et presque sans reprendre haleine, deux jours après, s’adressant au public, peut-être un peu différent, mais tout aussi mondain, de la Société des Conférences, il plaidait une cause difficile, celle de la mode sous le second Empire : à force d’enjouement, de tact, de sentiment de l’art, il la gagnait. […] Ses historiens favoris sont Michelet, Henri Martin, Louis Blanc, — et le pamphlétaire Rogeart, l’auteur de ces Propos de Labiénus, considérés par plus d’un étudiant de la fin du Second Empire comme aussi éloquents ou même aussi profonds que les Annales de Tacite.