« — Tant mieux… « Je le quittai et j’allai me regaillardir en jetant un regard aux grognards du premier Empire, de Raffet. […] Dominer, dominer sans cesse, dominer toujours, dominer sans que personne échappe à son empire, voilà le fond, le tréfond et le tout de sa nature. […] Par conséquent tous les actes de bonté qui pourront servir à l’établissement de son empire, et même ceux qui sont indifférents : oui. […] Le dessein est excellent ; car cette génération est évidemment toute différente de celle qui a été élevée sous le Second Empire, et constitue absolument une nouvelle France, analogue à celle de 1815 à 1830. […] À nous, hommes du Second Empire, ç’a été le plus grand étonnement de notre vie.