« La guerre civile n’est venue que de Vitellius, et, si nous avons combattu par les armes pour l’empire, le crime en est à lui seul. […] D’autres auront possédé l’empire plus longtemps, aucun ne l’aura résigné avec plus de stoïcisme. […] Vitellius n’était pas encore à Rome, que déjà l’empire lui échappait de tous côtés. […] Les généraux de Vespasien font offrir des conditions favorables à Vitellius, s’il veut abdiquer l’empire qui s’écroule ; il penche vers ce parti. […] À ces paroles, Néron s’écrie que de ce jour seulement on lui donne véritablement l’empire, et qu’il doit ce présent à un affranchi !